allons enfants de la party... le jours des vendanges est arrive... chantons en coeur sous la pluie... le raisin rouge est lance... allez en fin de la vigne... le soir de paye est arrive... dansons en pleurs c'est la vie... le tapis vert est deroule... entendez vous dans les compagnes... rugir ces precoces soldats... qui viennent s'ecorcher les bras... se muscler les cuisses et seduir vos compagnes... aux armes citoyens... formez vos bataillons... coupons... coupons... qu'un vin pur... abreuve sans grapillons... Que veut cette horde d'esclaves... De transseux et de rois emmigres... Pour qui ces vignobles enlises... se transferent en temps ecoule... francais... entre nous... ah quel courage... quels transports ils doivent acheter... c'est nous con ose oublier... a chaque gorgee de tout age... Quoi que des cohortes étrangères... feraient la loi dans nos foyers... quoi que ces frangins a l'envers... terrasseraient nos chers payes... c'est mieux regardes tes propre nains... Tremper tyrans et vous perfides... L'eau propre surtout c'est moisis... ramenez vos k-ways par ici... pour enfin recevoir l'avis... coins de soldats et de l'entartre... s'ils tombent nos jeunes zeros... la terre en produit de nouveaux... pas si cons et prets a debatre... routiers en guerriers magnanimes... coupez et videz vos sauts... epargnes d'une triste societe... a regrets s'alarmant contre vous... mais c'est des potes sans guerre... mais c'est des complices gadouilles... tous ces tigres qui sans cires... recoltes le vin de leur terre... amour sacre de la patrie... conduit... soutient nos bras vendangeurs... liberte... liberte cherie... fait la fiesta avec ces teuffeurs... sous nos drapeaux et plein a boire... accours a ces droles d'accents... pendant que les autres s'ennuis en pensant... on roule a donf tout en fumant... nous feterons las bas derriere... quand les patrons n'y seront plus... nous y trouverons leurs poussieres... et la grace a leur inssue... bien moins jaloux de leurs survivres... que de partager leur cerceuil... nous auront le sublime orgeuil... des les aides ou d'etre ivres... enfin... que l'heure passe... la vigne tasse... on fait objet comme on peu... ayons toujours l'ame nourrie... des feux qui inspirent tous deux... restons unis... tout est possible... nos vie unies continueront... alors les francais cesseront... de chanter ce refrain terrible...
Labels: San sebastian... Euskeleria...